L’accessibilité ça coûte cher !

Marie-Laure Fenech • 4 septembre 2025

Le coût de la non-qualité est supérieur à celui de la qualité.

💡La mise en accessibilité des espaces de vie, qu’ils soient neufs ou existants, ne signifie pas obligatoirement un surcoût.

Les contraintes du site ou patrimoniales peuvent nécessiter des équipements particuliers. Excepté ces éléments, il s’agit principalement d’une attention particulière sur la conception claire et simple de l’organisation spatiale du bâtiment, sur le bon positionnement et la qualité des équipements et/ou du mobilier, sur la prise en compte des aires d’usages pour les atteindre et les utiliser, ou encore la qualité des ambiances.

 

👉 Autant d’éléments qui ne sont pas destinés « qu’aux personnes handicapées » mais qui peuvent avoir un fort impact sur le niveau d’accessibilité et d’expérience de l’utilisateur.

 

 

‼️ Le coût de la non-qualité est bien supérieur à celui de la qualité.

 

Trop souvent, la non-anticipation et/ou prise en compte des besoins et usages de tous, engendre une posture de « réparation » plutôt que de « prévention ».

Cela se traduit (trop souvent) par des travaux d’adaptation, l’installation d’une aide technique et/ou la présence d’une aide humaine pour compenser l’inaccessibilité du lieu. Et parfois même seulement après quelques mois d’exploitation.

 

👉 Je vous rassure, quelle que soit la phase et/ou le niveau d’avancement d’un projet, des solutions sont toujours possibles.

 

Quelques pistes pour un projet accessible et inclusif (avec et pour tous) :

S’inscrire dans un processus de prévention et non de réparation : prendre en compte les usages et besoins de tous, le plus en amont possible (dès la rédaction du programme).

Mettre en place une démarche de co-conception : mobiliser l’ensemble des acteurs du projet et les futurs utilisateurs (experts d’usage) pour le recueil (et la compréhension) de leurs besoins et usages au cours de temps de concertation (facilitera l’accompagnement au changement et l’appropriation des lieux).

Se former à la prise en compte des usages et besoins de tous : enrichir sa pratique et changer d’approche (se placer dans un objectif de résultats et plus de moyens) pour concevoir de véritables espaces ergonomiques et accessibles (sur le plan physique, psychique et sensoriel).

Se faire accompagner par un professionnel : le rôle de l’AMO/AMU (assistant à maîtrise d’ouvrage et d’usage) est d’être un facilitateur pour la mise en place d’une approche inclusive opérationnelle. C’est un garant de l’atteinte des objectifs fixés (👷🏻‍♀️ c’est moi).

 

🚀 Ensemble pour une société inclusive.

  👉 Un #projet ou une #collaboration ? Contactez-moi : https://bit.ly/3G6a719

  👉 Vous souhaitez vous former : https://bit.ly/3TArY7h


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